Je ne serais jamais ce à quoi vous me réduisez. Allez vous faire foutre. Vous ne savez rien de moi et je ne sais rien de vous. Je n'ai pas envie que vous interfériez dans ma vie comme la peste dans celle des rats. Ma vie me regarde, et celle que j'ai avec mon compagnon aussi, qu'elle se déroule en votre présence ou non.
Si je ne suis pas assez bien pour vous, dîtes le, mais arrêtez de me sortir des excuses bidon, d'un pseudo protectorat de merde dans lequel vous croyiez être. C'est bien joli vos phrases toutes faites, vos "petits frères" et autres surnoms amicaux construits de mièvrerie et de sentiments artificiels. Ce n'est pas en croyant me faire la morale que vous en sortirez grandi. C'est gentil d'essayer de faire des leçons, mais il vaudrait mieux parfois balayer devant sa porte plutot que de critiquer le palier du voisin.
So fuck you anyway
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